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Cangas de Narcea accueillera la rencontre européenne du sport traditionnel
par Biel Pubill Soler dans Réunions
L’Association Bolo Vaqueiro organisera en avril 2019 le congrès international qui coïncide avec son 20ème anniversaire
Bolo Vaqueiro Association, présidée par Francisco Alvarez Cangues Cadenas, sera chargé d’organiser la réunion internationale du sport traditionnel à Cangas del Narcea début Avril 2019. Le groupe a fait la proposition à la dernière assemblée générale de l’Association européenne des Jeux et sports traditionnels, (AEJDT), tenue en Flandre (Belgique), et a été approuvée à l’unanimité.
Francisco Álvarez Cadenas a expliqué que sa proposition d’accueillir le conseil de l’AEJDT comprendra des activités sportives, culturelles et scientifiques, ainsi qu’un congrès. Il a également souligné que dans la région, le jeu de quilles est étroitement lié à la culture et au paysage de la région.
La célébration de cette rencontre internationale coïncidera avec la célébration des 20 ans de travail pour retrouver la tradition du Bolo Vaqueiro dans la région sud-ouest. Deux décennies dans lesquelles des actions de récupération ont été développées qui ont réussi à créer l’association, les compétitions et atteindre les écoliers. “Une résurgence authentique de ce patrimoine qui est aujourd’hui un atout social, culturel et sportif valorisant son identité et sa vie dans les villages”, souligne Álvarez.
L’association de Bolo Vaqueiro travaille déjà à donner forme aux conférences qui auront lieu début avril 2019 à Cangas del Narcea. Pour ces jours, ils prévoient de créer de nouveaux matériaux informatifs sur le Bolo Vaqueiro et la célébration d’activités sportives, telles que des expositions ou des tournois. Ils prévoient également de développer des événements culturels qui incluront les départs dans la région. En tant que plat principal, un congrès international sera organisé pour analyser les processus de récupération de la tradition du jeu et le rôle qu’ils jouent en tant qu’agents actifs de la cohésion sociale et sanitaire.
Article paru dans LA NUEVA ESPAÑA (19/07/2018)